Dans cette lecture-installation, il est question de « ratures » plus que de « litté ». De boules de papier froissé. De chapitres biffés. De carnets intimes exhumés du caveau du temps. De déchets papier devenus archives. Il y est question aussi de "bibliocaustes" et d’autodafés, de manuscrits refusés par le marché, de livres broyés et d'écrivains assassinés. Entre destruction et recyclage poétique, un autre récit s'écrit. Un livre qui revient de loin : L’ANTILIVRE.